Newsletter de mai
Aujourd'hui, comme tous les 30 avril depuis 2004, c'est la journée de la non-violence éducative.
Habituellement, nous vous proposons une rencontre entre parents pour sensibiliser, informer et réfléchir à ce que nous pouvons faire pour élever nos enfants sans taper, sans crier, punir, fesser, menacer, humilier, secouer, faire du chantage, isoler, culpabiliser, bousculer, rejeter, mentir, se moquer...
Nous avions prévu un super programme à La Cause Des Parents à cette occasion, mais ce n'est que partie remise :)
Quand on devient parent, on chemine en fonction de notre propre histoire. On peut lire, écouter les conseils, s'écouter, ou écouter son enfant pour savoir ce qui est le meilleur pour lui. Chacun à son rythme, on chemine.
Et on s'élève avec son enfant.
On passe par des moments de grands bonheurs et par des moments de crise.
L'objectif n'est pas d'être un parent parfait. Clairement.
Faire au mieux pour son enfant, c'est déjà bien :) Se renseigner sur ce que l'empathie et les câlins apportent au développement de l'enfant, c'est bien aussi ! Penser à ce qu'on veut apporter à son enfant en termes de valeurs, de règles, d'avenir, Réfléchir à ce qui se passe pour nous quand on se met en colère contre notre enfant, à l'origine de cette colère, à la façon dont ça se passait lorsqu'on était enfant, Se renseigner sur la communication non-violente et s'entraîner à écouter son enfant, son partenaire, son entourage pour se diriger vers des relations authentiques et de confiance... Tout ça, c'est déjà un bon début pour installer un climat familial serein, détendu, en paix.
Et n'oublions pas, nous sommes en chemin.
On a le droit de ne pas toujours être au top. On peut être bienveillant avec soi-même aussi, et observer à quel endroit on est arrivé, et quel chemin il nous reste à parcourir. Sans se juger ni se flageller, juste en observant et en accueillant ça.
Je vous souhaite un beau cheminement parental !
Et si le besoin s'en fait sentir, je vous accompagnerai sur votre chemin avec grand plaisir !
A bientôt,
Lucie.
